artparis
artparis, sous la belle coupole du grand Palais, c’était pas si mal ! Un nouveau look, nous dit la plaquette, avec les « guests *» et les « ...
https://lolagassin.blogspot.com/2010/04/artparis_03.html
artparis, sous la belle coupole du grand Palais, c’était pas si mal !
Un nouveau look, nous dit la plaquette, avec les « guests *» et les « plateformes »…
Surtout sans les mezzanines mal dessinées et instables de la FIAC (on compare c’est inévitable). Il faut dire qu’à artparis, la place ne manquait pas, ça flottait même un peu…
Dès l'entrée, une bonne impression avec l’ « Appartement de collectionneur « imaginé par les galeries Loevenbruck, In situ/Fabienne Leclerc, Jousse Entreprise, Downtown-François Laffanour et Georges-Philippe & Nathalie Vallois où je découvre «L’horloge d’une vie de travail » de Julien Berthier, une sculpture pleine d’humour et de poésie, superbement réalisée (eh oui, ça compte, même si on vous dit le contraire !)
Toujours sur la première rangée, deux excellentes galeries, RX avec les dessins de Françoise Pétrovitch, les coulées de peinture de Cédric Teisseire et Sémoise qui présente la jeune Amélie Bertrand et les tapis-nature de Piero Gilardi… Piero, on a un peu oublié à quel point il a été et reste un précurseur dans la remise en question de la représentation.
Ensuite le parcours devient plus disparate, avec quelques bonnes choses et d’autres... nettement moins intéressantes. Je m’arrête un instant, galerie Laurent Gaudin, devant les œuvres de Gérard Traquandi et les drôles de meubles de David Kramer. Un coup d’œil ensuite aux Combas de Laurent Strouk relégué au fond de la foire. Encore un pôle d’intérêt, la plateforme Finlande (des étrangers enfin !) où la galerie Forsblom présente HC Berg et ses « Visuel Vortex-Oily Colours-Butterflies-Waves » …
Peu de galeries étrangères, donc peu de visiteurs étrangers (l’un va avec l’autre), peu de monde mais c’était le dernier jour ; une grogne du côté de certaines galeries qui se plaignaient de tout : structuration, manque de pub, d’invitations de collectionneurs, etc.
Un nouveau look, nous dit la plaquette, avec les « guests *» et les « plateformes »…
Surtout sans les mezzanines mal dessinées et instables de la FIAC (on compare c’est inévitable). Il faut dire qu’à artparis, la place ne manquait pas, ça flottait même un peu…
Dès l'entrée, une bonne impression avec l’ « Appartement de collectionneur « imaginé par les galeries Loevenbruck, In situ/Fabienne Leclerc, Jousse Entreprise, Downtown-François Laffanour et Georges-Philippe & Nathalie Vallois où je découvre «L’horloge d’une vie de travail » de Julien Berthier, une sculpture pleine d’humour et de poésie, superbement réalisée (eh oui, ça compte, même si on vous dit le contraire !)
Toujours sur la première rangée, deux excellentes galeries, RX avec les dessins de Françoise Pétrovitch, les coulées de peinture de Cédric Teisseire et Sémoise qui présente la jeune Amélie Bertrand et les tapis-nature de Piero Gilardi… Piero, on a un peu oublié à quel point il a été et reste un précurseur dans la remise en question de la représentation.
Ensuite le parcours devient plus disparate, avec quelques bonnes choses et d’autres... nettement moins intéressantes. Je m’arrête un instant, galerie Laurent Gaudin, devant les œuvres de Gérard Traquandi et les drôles de meubles de David Kramer. Un coup d’œil ensuite aux Combas de Laurent Strouk relégué au fond de la foire. Encore un pôle d’intérêt, la plateforme Finlande (des étrangers enfin !) où la galerie Forsblom présente HC Berg et ses « Visuel Vortex-Oily Colours-Butterflies-Waves » …
Peu de galeries étrangères, donc peu de visiteurs étrangers (l’un va avec l’autre), peu de monde mais c’était le dernier jour ; une grogne du côté de certaines galeries qui se plaignaient de tout : structuration, manque de pub, d’invitations de collectionneurs, etc.
Illustration : Amélie Bertrand
*L'anglicisme ce n'est pas de moi !