Tournée
Voilà un bout de temps que je n’ai pas alimenté mon blog pourtant ce ne sont pas les événements qui manquent sur la Côte ! Des expositions ...
https://lolagassin.blogspot.com/2010/07/tournee.html
Voilà un bout de temps que je n’ai pas alimenté mon blog pourtant ce ne sont pas les événements qui manquent sur la Côte ! Des expositions un peu partout, beaucoup de belles et de bonnes…
C’est d’ailleurs la raison de mon silence passager car COTE m’a demandé plus de textes qu’à l’habitude ce dont je ne me suis pas plainte, bien au contraire.
Avant de vous parler de cette plongée dans le bouillon artistico-plastique local et simplement parce que c’est encore tout frais je voulais dire quelques mots sur Tournée de Mathieu Amalric, un film qui, comme vous le savez, a eu le prix de la mise-en scène au festival de Cannes.
Utilisant mon pass de la Fête du cinéma 2010 qui me fut remis lors de ma première visite au Rialto (mon cinéma attitré) pour voir Les petits ruisseaux dont je ne vous parlerai pas car je n’ai envie, ce soir, que de m’enthousiasmer, je me suis précipitée sur Tournée et grand bien m’en a pris car j’ai aimé ce film d’un bout à l’autre. Prix mérité certes, bien que peut-être d’avantage celui du scénario original que de la mise en scène, l’œuvre est comme son créateur, Mathieu Amalric, atypique, insolite, extrêmement touchante et tout à fait inattendue malgré ce « bastonnage » d’images fait par la télé et la presse écrite… Mais qui s’en plaindrait, c’était drôle, pas prétentieux et tellement réconfortant de voir cet auteur français (enfin), affublé de ces belles et plantureuses femmes, arpenter la Croisette en riant et retenir l’attention des médias…
Eh bien ! Et c’est là encore un petit miracle, même gavés d’images de Tournée, on n’a rien vu tant qu’on n’a pas vu ce film qui n’arrête pas de nous surprendre par la vérité des corps de ces femmes et de leur façon de s’en servir, par le personnage de Mathieu Amalric en producteur tendre et déglingué qu’on croit au bout du rouleau mais que la tendresse fait rebondir ; en père paumé qui offre à ses fils un week-end d’enfer, finalement délicieux tant il est à l’opposé de ce qu’attendent deux gamins qui retrouvent leur père pour un bref moment… pleins d’autres précieux instants encore… Cet instant de drague entre la pompiste dans sa cage de verre et Amalric, si subtil, si délicat… Drague aussi de l’adorable danseuse blonde, très Marylin avec plus rondeurs, au bar de l’hôtel et… la suite ! Enfin vous en trouverez d’autres, j’en suis sûre, toujours surprenants, touchants et si tendres… C’est en effet l’adjectif qui me revient constamment en tête, un film tendre et pas mièvre… que c’est réconfortant !
C’est d’ailleurs la raison de mon silence passager car COTE m’a demandé plus de textes qu’à l’habitude ce dont je ne me suis pas plainte, bien au contraire.
Avant de vous parler de cette plongée dans le bouillon artistico-plastique local et simplement parce que c’est encore tout frais je voulais dire quelques mots sur Tournée de Mathieu Amalric, un film qui, comme vous le savez, a eu le prix de la mise-en scène au festival de Cannes.
Utilisant mon pass de la Fête du cinéma 2010 qui me fut remis lors de ma première visite au Rialto (mon cinéma attitré) pour voir Les petits ruisseaux dont je ne vous parlerai pas car je n’ai envie, ce soir, que de m’enthousiasmer, je me suis précipitée sur Tournée et grand bien m’en a pris car j’ai aimé ce film d’un bout à l’autre. Prix mérité certes, bien que peut-être d’avantage celui du scénario original que de la mise en scène, l’œuvre est comme son créateur, Mathieu Amalric, atypique, insolite, extrêmement touchante et tout à fait inattendue malgré ce « bastonnage » d’images fait par la télé et la presse écrite… Mais qui s’en plaindrait, c’était drôle, pas prétentieux et tellement réconfortant de voir cet auteur français (enfin), affublé de ces belles et plantureuses femmes, arpenter la Croisette en riant et retenir l’attention des médias…
Eh bien ! Et c’est là encore un petit miracle, même gavés d’images de Tournée, on n’a rien vu tant qu’on n’a pas vu ce film qui n’arrête pas de nous surprendre par la vérité des corps de ces femmes et de leur façon de s’en servir, par le personnage de Mathieu Amalric en producteur tendre et déglingué qu’on croit au bout du rouleau mais que la tendresse fait rebondir ; en père paumé qui offre à ses fils un week-end d’enfer, finalement délicieux tant il est à l’opposé de ce qu’attendent deux gamins qui retrouvent leur père pour un bref moment… pleins d’autres précieux instants encore… Cet instant de drague entre la pompiste dans sa cage de verre et Amalric, si subtil, si délicat… Drague aussi de l’adorable danseuse blonde, très Marylin avec plus rondeurs, au bar de l’hôtel et… la suite ! Enfin vous en trouverez d’autres, j’en suis sûre, toujours surprenants, touchants et si tendres… C’est en effet l’adjectif qui me revient constamment en tête, un film tendre et pas mièvre… que c’est réconfortant !